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des anciens rites », je trouve inutile de remplacer le mal par le pire, en admettant qu’on trouve qu’il y ait mal.

Car la poésie régulière est un instrument qui rend d’assez jolis sons… quand on sait s’en servir — quoiqu’en dise M. Kahn. Il en est de glorieux exemples et qui sont tout proches.

Il est des purs-sangs qui ne déplaisent qu’à ceux qui ne savent point monter à cheval.

Toutefois, puisqu’il y a des gens qui semblent convaincus que l’ancien pégase est borgne, nous leur dirons que le nouveau, le leur, est aveugle et bien peu robuste.


Je vois bien peu de différence entre la prose poétique et la poésie irrégulière. Cette dernière a seulement sur la prose l’originalité d’être coupée