Page:Vigny - Héléna, 1822.djvu/103

Cette page a été validée par deux contributeurs.

Mais, soutenue enfin par une esclave noire,
Dans un cristal liquide on croirait que l’ivoire
Se plonge, quand son corps, sous l’eau même éclairé,
Du ruisseau pur et frais touche le fond doré.