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4^ UN NAUFRAGE PARISIEN ^ ’fes persécuteurs de madame d’Otmessanli plein d’ardeur pour déjouer leurs indignes trames... et rêvant déjà de son siège à la Cour. Pour la marquise, elle écrivit ce billet : <( J’ai marché, monsieur, dans la voie que vous ]» m’aviez indiquée. Je crois avoir atteint le but« Avertissez monsieur P. S., qui est dans les meilleurs sentiments, et venez me voir, s’il y a lieu de pourvoir à » de nouveaux détails. » Elle mit pour suscription : « Monsieur Lamaze^ avoué, b Et fit jeter à la poste. XXIV — Eh bien f s’écria M. Lamaze, quelques jours après, en entrant chez sa cliente madame Lucie Langlois, épouse d’Ormessant^ qui, obéissant aux recommandations de la marquise, s’était tenue enfermée dans son couvent, où ne l’avaient atteinte ni reprodies ni humiliations. — Eh bien ! voilà un joli sau* vetage, et vous pouvez vous vanter d’avoir, en madame de Gheverus^ une puissante et habile protectrice 1 dby