Page:Vielé-Griffin - Plus loin, 1906.djvu/17

Cette page a été validée par deux contributeurs.








Le rêve de la vallée,
Toute d’or et d’ombre au loin,
M’a pris et bercé et roulé
Dans un parfum de vigne et de foin ;

Son rêve engourdit ma pensée
En un bruit de faux et de feuilles :
Mon âme roule bercée
En un songe de joie et de deuil…