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La mer où s’en vont tes regards en nacelles
Te dit elle aussi : « Ton heur te coudoie »,
Que, te retournant, tu t’épeures et chancelles
A me voir, là, tout près, sous les lilas frêles
— La mer, ou les fleurs, ou les hirondelles,
Ou ton âme à toi, subtile en sa joie ?