Page:Vie de Lazarille de Tormès, 1886.djvu/181

Cette page a été validée par deux contributeurs.
129
DE TORMÈS

avait été frisé, et une épée de Cuellar, des vieilles premières.

Dès que je me vis en habit d’honnête homme, je dis à mon maître de reprendre son âne, ne voulant plus continuer ce métier.