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ne rduonnr ’ — » Puisque c’est de vos amis qui m’ont ix volé, il vous sera bien aisé de retrouver mon argent, tàchez seulement que ce soit bientôt ; i• si ça pouvait être aujourd’hui ? ’—·— u Nous n’allons pas si vite en besogne. ’ — » C’est que, voyezi-vous, j’ai absolument besoin de retourner au pays, je fais faute à la maison, j’ai ma femme qui est toute seule, avec ça que c’eBt dans quatre jours la foire â Auxerre. -·«—. » Oh ! oh ! vous êtes pressé, mon bon I » homme ?. ·=-·— » Oui, queje le suis ; mais écoutez, on peut s’arranger, donnez — moi simplement quinze cents francs tout de suite, et je vous tiendrai quitte du reste. C’est-ti ça parler P l’espère qu’on ne peut pas être plus accommodant · —· >s C’est vrai-, mais nefais pas de marché de cette espèce. ’ ·· » Il ne tiendrait qu’à vous pourtant. wi Le Bourguignon entendu, venait le tour d’un · chevalier de Malte, qui vraisemblablement avait obtenu des dispenses pour le mariage, car il était accompagné dî sa noble moitié, qui amenait sa bonne avec el e.