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au ninoxnu ’

» arrêté quelque part., je vous réponds que l’on s’en sent.

— » C’est bon ; on se tiendra pour averti ; merci M. John. » · · ’.

Liaubergiste se rend aussitôt au Commandement de milordà qui il se présente dans une aimable attitude de respect, c’Bst-à-dire, le visage presque riant, les bras tombant le long de la couture de la culotte et la tête découverte. « Mi’lord désire me parler ?—Ies, ies, prénez oun brancard, monsieur l’hôte. » L’hôte ne comprend pas, ’mais John arrive. « Sa seigneurie, dit-il, vous invite à vous asseoir, prenez un fauteuil. — Ies, ies un fauteuil reprend l’illustre étranger ; puis il poursuit, ché volé avec vo condichonner, un rangement por I — » doge mo-a de confortachèn, et ché volé vo tote suite donner à mo-a soloucheine so l’argent qué vo avez nécessaire, por faire manché, cuché, loché, chauffé, planchir, d’apord quatre chevalsà mo-a, disse dogues por le chasse du fox, quatre John encore, ma carosse et mon seignorie. » Ifaubergiste J ne sait trop que répondre, mais John qui voit son embarras se fait le trucheman de son maître. « Monsieur vous demande combien lui