Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/367

Cette page n’a pas encore été corrigée

un vusodq. ssi

un’tune que les pour-boire que j’ai donnés aux postillons. —

— » Il est donc riche ? ·

- sa S’il est riche ? il ne connaît passon avoir. Je ne me souviens déjà plus combien il a de mille livres sterling à dépenser par jour. — »’ Diable ! Vous devriez l’engager à rester ici, le pays est charmant ; d’abord, il y verra · de bonnes gens ; ensuite, on n’y manque de rien : des bois pour aller à la chasse ; si l’on aime la pêche, une rivière des plus poissonneuses ; des prés, des champs, des vignes, des vergers ; la comédie toute l’année ; nous avons une salle de spectacle, d’excellents acteurs, une société des mieux- composées ; M. le maréchal ***’Y à son château dans les environs ; madame la comtesse de *** a le sien tout près de là ; le duc de ** est dans l’usage d’y venir passer la belle saison ; et puis le marquis de ***, le général ***, le chevalier·***, sans * compter M. le maire et madame l’adjoint, où I > ; il y a réunion deux fois la semaine". Oh ! il. y a ici beaucoup de distractions... Le cercle ’ littéraire, où l’on discute édit tous les jour- ’ ii naux ; la société d’agriculture et d’émulation, ’, qui s’honore de posséder dans son sein les