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L’érudit commença sa version, et je prètais l’o-·geille v dëabord il me fallut entendre le eun-icu-lum rvàcè de tous les voleurs xhythologiques, Mercure, Polyphème, Llacus ; puis vinrent les tempsliéroïques, tout remplis de voleurs et de vols : on avait enlevé le trésor de Diane à Éphèsè, les troupeaux’de celui-ci, la génisse de beluië-B, le cheval de tel autre. Ensuite, au milieu d’un déluge de citations, étaient énumérés tous les laroins mentionnés dans laGenëse : les Médes, les Assyriens, les Romains, les Cartlnaginois paraissaient également sur la seëne, à mesure quel’m·1lre.chronologique les y appelait. Quandje vis que c’ëtzait à n’en plus finir, j’in-ter rompis le traducteur. « Assez l assez, lui ’ ’ ’

— » Non l non, pardîeu, il Faut que vous écoutiez celleëlà., Voici une dissertation qui est Fort curieuse ; elle roule sur les deux larrons », entre lesquels Jésus -Christ fut drucifié. » L’auteur ·ohehehb· quels pouvaient être leurs noiuse.. .., , 2 ·

—:4- xl Eli ! que nous importe.leurs=i1oms€*-+ au. A.11.l, mdnsieur yquand on remonœdans sw le passé 5. il n’e§ t point de petite recherche 5savez-vous que si l’on parvenait à connaître le 2.