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—·À- » Ah l monsieur, . il était tenips qu’il mourût l que de trésors il avait enfouis l que d’exemplaires uniques il tenait en charte privéel Celui-là aussi est unique ;’ce n’est pas sans peine que je l’ai exhumé : enfin je Pai, je le possède. Pauvre petit De famosz]s· Latronibus ! Merlin et Renouard le poussaient ’ xs comme des enragés ; mais j’étaisà la vente, se j’étais là, je leur ai tenu tête, et il est à moi ; je le tiens, c’est cet in-quart0, vo us le voyez. C’est bien cela Defamosis Latmnibus in vestzgzmdzis, à Godefido. Ce Godefroid était un malin compère, il les savait toutes, monsieur. Ah détail ; affaire à lui pour découvrir un voleur. C’est dans ce savant traité qu’il a. déposé le fruit de ses veilles ; que votre successeur, M. Lacour, voudrait bien avoir son secret}. M mais c’est à vous, à vous seul que je prétends en faire hommage, je suisvenu tout expres à Saint-Mandé pour vous l’offrir..· — » J’accepte, monsieur, et vous remercie ’ ’ beaucoup. Mais seriez-vous assez bon pour me dire quel était ce GodefroiclP î. — » Ce qu’il était ! Docteur 1, }:, utrogue, contemporain de l’illustre Pic de la Mil’andole, et professeur d’astrologie judicia irc-dans.une Tom : nv. 2