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un vxnouç. 11 :1

énorme !., , quel éblouissement !.... il brille le soleil !, .. quelle vive lumière !., . ils m’en »f oncent des aiguilles dans la poitrine !., . Frédéric, entendez-vous un bourdonnement P, ., c’est là, à mon oreille !., . ·

SUSANNE (contractant ses muscles, et se débattant sur le plancher.) » Ils me briseront le · tympan avec leur marteau ; les cruels ! m’ar-à racher les seins !., ils s’apaisent ; c’est le bien-être L., m’y voilà, elle y est mon ame ’ » tout entière !., ... un nuage.... il passe..., . elle s’éteint, , elle m’échappe., . je ne puis plus la retenir, ... mon Dieu ! miséricorde !., . FRÉDÉRIC. » Henriette ! Henriette ! (la remuant) elle n’est plus, et moi !., . Elle a les dents serrées.., . Comme elle les a blanches ! Henriette ! chère Henriette, tu ne A m’entends pas ?., Si j’avais un pistolet, une arme !.., (Il se lève avec précipitation, et ouvrant une armoire, il saisit un couteau.) Dieu soif loué I je puis la rejoindre maintenant ! je puis me frapper !., là, auprès

d’elle È.. sur son corps !, mon sang coulera È J. ’ » entre ces deux côtes !, .. c’est ici qu’il bat ; le À sien bat-il encoreP., - (Il se baisse et y pose la main.) N9n, , (Il Pembrasse, et appuyant la