— au nâuonu ADELE. » Et moi, le mal de tête commence à me gagner. · HEmuE·r-rE. » J’ai la cervelle qui bouillonne ! SUSANNE. » Sens-tu, comme moi, une sueur, un malaise ?... ADELE. » J’ai comme un bandeau sur le Front, et une pesanteur dans les membres"., FnEDE1uc. » C’est singulier, je n’éprouve rien ; c’est peut-être l’efFet de l’habitude. ADELE. » Ma vue se trouble ; on dirait qu’une toile s’abaisse sur mes yeux, ils enflent, je suis toute étourdie !... SUSANNE. » Affreuse oppression ! FRÉDÉRIC. » Je suis donc de fer, moi ! ADELE. » Mon sang se glace.... ’ FRÉDÉRIC· » Et je leur survivrais !... HEN1uE·1°1·E. » Frédéric, mon ami, la tête me fend.), O douleur ! Ils me déchirent la poitrine ! retire ce serpent qui me ronge le cœur !... où me portes-tu ? qui me soulève ? est-ce toi P je me trouve mieux à présent". Je suis bien.... Ah ! quelles délices ! je suis légère ! je suis en paradis ! Adieu, Frédéric ! sa mes amis, priez pour moi..... L ADELE. » Ma tête, ô poids insupportable ! mon cœur, il rebondit !.... il bat ! il est
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