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au ninoxnln FBÉDÉRIC. » Que veux-tu que je te dise ?-HENRIETTE. » Comment, tu me ver/gais expi’ »> rer, là, devant toi ! tu aurais ce courage !.... FRÉDÉRIC (avec émotion, ’et faisant un effort pour se dérober à ses embrassements li Ah ! laisse-moi.... Je n’en puis plus !.... HENRIETTE. » Tu verrais mon cadavre ! FRÉDÉBIC. » ça me fait mal pourtant. HENRIETTE. » Tu détournes la vue ;... tu ne me réponds pas ; mais regarde-moi donc, U » mon ami !. FRÉDÉRIC (avec attendrissement). » Eh bien ! ADELE (à part  » Il va se laisser gagner. D Que je regrette de n’avoir pas fait le coup toute seule ! ’ HENRIETTE (embrassant Frédéric  » Tu ne D veux plus mourir, n’est-ce pas ? FRÉDÉRIC. » Que je ne puisse pas lui résister ! oh ! femme !... quand on aime !... cependant, ... c’est égal ; je me mets au-D dessus de tout, nous ne mourrons pas. ADELE. » Et du pain ? FREDERIC. n Nous en aurons. Vous avez entendu parler de la bande à VidocqP · ADELE. » Que trop !.. · O FRÉDÉRIC. » Il ne tient qu’à moi d’en être ;