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au 1¤i¤ ;•1u• · · rouges, vraiment, on croirait que nous bat= tons monnaie... Nous sommes obsédés, ac= cablés, assornmés, nous aurions les revenus de Lafitte, ce ne serait pas pis... Il y a le co\ » mité de bienfaisance, que ne vous adressez vous au comité ? — » Ah ! monsieur, le comité, quand on meurt de faim ! ’ —· » Contes que tout cela ·: personne ne »’meurt de faim à Paris.-Juste ciel ! il est donc un état plus af·Ã freux que la misère ! la misère, à laquelle on ne cro1t pas. · — » Je ne révoque pas en doute ce que vous me racontez de votre situation, mais à l’im-· ’iv possible nul n’est tenu. D’ailleurs, quels sont e vos titres aux libéralités des fidèles ? J’en suis le dispensateur, il est vrai, mais je leur dois ’ » compte des aumônes que je fais". Par qui m’êtes-vous amenée ? approchez-vous des ai sacrements ? quel est votre dineoteur ? » (Adele baisse la vue et se tait.) Vous vousltaisez ; je ne le vois que trop, vom êtes une impie, une athée, une héréii tique, une incrédule. sa (Elleveut pa.rle.r, dessanglotsém11£fent savoix.)