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vernanœs, de servantes, de Ãbéguines, de chanoinesses et de dévotes de tout âge et de toutes u les couleurs entoure la solliciteuse.—Dites-nous, — Cozyîez-nous, — Exposcz-nous, lui crie-téon ; et. cem ; autres interpellations volantes, plus ou moi-ns impératives viennent simultanéinerit l’assaillir. -·· « Quand vous vous mettrez- après, mei. comme des happe chairs, ·s’éc1·ie Adèle, qui ne sait plus à qui répondre, ·je n’a-i rxix ’ à démêler avec vous. » · ·

Tandis-qu’elle fait ainsi tête à l’orage, l’atmo- ’ ’sphère se remplit des parfums les plus suaves. D l’agréable odeur ! elle s’ex.hale du fin mouchoir de batiste que déploie unjeune abbé frais et gaillard, qui arrive un- bougeoir à la main et en s’essuyant le front ; «Panc1·ace, liaitœ d attention ·où vous posez les pieds, recommande - ce majordome à un gros garçon dont le bras et la hanche sont également meurtris · du poids d’une quarantaine de’bouteilles miraculeuse-ment entassées dans un panier. - · - - · — « Prenez garde, ajoute ·l’abbé, ily a un · c’est ça ; a.b !’voilà notre -Chambertin’ qui est sauvé, ce n’est pas sauspaine, n’est-Ã, ce pas sümmellier 9* Te Deum laudamus. · · t et »- Monsieurïabbé, od l’avez-vous pris ? ’