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vid lilollif votre bonté ; je suis dans la dernière des-misères. ’ — » Le bureau n’y suffirait pas, s’i-l Fallait secourir tous ceux qui sont comme vous. Avez-vous des recommandations ? connaissez vous quelqu’un ? ’ ’ =— » Non, monsieur. — » Faites appuyer votre demande, alors n ou verra. — » ’Mais, monsieur, par qui voulez-·vous que je la’fasse appuyer ? ’ — » N’vez-vous pas un curé dans votre paroisse ? ’c’est bien simple, apportez-moi une · lettre de lui. —·= » La démarche exige du temps, et je suis sans-pam.-1- » Tant pis pour vous, je ne peux qu’y faire. »··¤ »S En attençlanuque devienmlraùje ? il faudre donc que je me mette voleuse ? ·’ —· » Comme il vous plaira, mais la justice est là ; au surplus, vous n’avez plus Heu à me e » dire ; bonjour, bonjour. » j Alors il se lève et sonne ses —· « Eh \ rs bien ! vous restez-·là, vous ne ·m’a’vez donc ui · ’ » pas entendu ? ’ I — -=·— » Pardon », balbutie Adèle qui, sous les-