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- un vuooç. nir en ma ration. Camarades, cherchez au boursicanit les ceux qui en ont : il y en a par là qui n sont sur le lit-de-·eamp ;... Cl en tire un par les pieds (Yest le Lorrain ; je l’aurais parié ; Tous. »· Qu’on a’bîen raison de dire : Lorrain »» ’vüaùz, traître à Dieu et à » son prochain. LE Lonmm. » Je dors. ’ A Le’sonnxr. » Cinq sous. · Le Lonnim. » Veux-ru me laisser ? · Le s0L1>n·1·.— » Aboules, tu d orin iras après. La Lonmm. » Puisque n’en ai pas.- ’ LE sxmcmvr. » On ne peut pas peigner un diable qui 11,3 pas de cheveux. LE CAPITAINE (tirant dix Hanes de sa Laisse}-le, je mets pour lui et pour’les Hucn tioimaires. ’ -Aoste. » » Capitaine, ’vous êtes trop bon. La CAPITAINE. » Votre état exige des soins : si vous le désirez, je vais vous faire transpor »· ter à l’Hôtel->Dieur ? J · ’ Le caromn. » Il y a un hospice.plus’près ; ’sv la· Pitié, ’c’està•deux-pas ;·. La snnosnr. n On n’y entre pas de nuit ; pas plus là qu’ailleurs. ’ LE CAPl’.l’LlâNB· » Cependant les accidents peuvent arriver de nuit comme de jour ; et