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au sinon : " maîtresse, (empresse d’exécuter ses ordres. Ah’ ! mon dieu I mon dieu I mon ; dieul —. » Marie, ne criez donc pas comme cela, vous me faites des souleurs I. I -·· » Ah I madame. · —· » Mais qu’avez.-·vous, Marie ? vous vous seriez cassé une jambe". — » l’argenterie.... — » Eh bien I l’lI’genterie. I — ; » Nous solllmes volées. ’ — » Voilà votre tête. · - ·— » Jevousjure — » Taisez-vous, sans soinl enlevant votre »· vaisselle, vous aurez laissé traîner un couvert ’: si je me lève, je parie queje vais mettre la main dessus. -a- » I madame, ils ont tout pris. - » Comment dites-vous ? — — » ’ Est-il possible I- il n’y en a plm. — » Il n’y en aplusl Voyons un peu ce - » qu’elle prétend avec son..... il n »’y en a plus. Vous êtes bien bête, ma pauvre  » En prononçant ces mots, la veuve se lève impatientée elle court au tiroir et pousse brusquement Marie. « Retirez-vous, pécoreulnste · ciel I ah l’quel malheur I Oh I les seélératsI