Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/114

Cette page n’a pas encore été corrigée

ml Kiïll

-

CHAPITRE L· ’ ’ ·

Capdeville ou monsieur prothée. — Le faux traitant. - Simplicité de M. Séguin. — Le foin dans les bottes. — La veuve bien gardée. ’ La persévérance. — Monsieur Fierval. — Une promenade.-L’amant de la nature. — Le fortuné pays ! — La panacée universelle. — La fontaine de Jouvence. — Une pineée, deux pineées. — La manière de s’en servir. — Les vertus miraculeuses de la toute bonne. — Grande herborisation.~— Les simplœ se cherchent. — Je serai Rosière. -· La Circé. de Saint-Germain. — ; Auxoleur, à l’assassin ! à la garde ! au feu ! — Une percée, grande découverte. ’ — Dénappointement d’un tapissier. —· L’aveu naïf.—· Visitez vos fauteuils. ·· ;- Gare à la pimprenelle. ’ ’ A

Un des plus àdroits cambrioleurs ·ét ; ait· le’ nommé Lepetü Godet, dit Zllarquù, dit ; Duragzd ; ” dit Capdeville ; ce serait à n’en plus finir, si je VO\]l3iS COlÉlSigDBI’ici tous les DOIDS et toutes les qualités qu’il a pris dans le cours de sa longue C8I’I’lèI’€, fut (OUT à ÉOl1I’l’IégOCl&l’lÉ, HPHIHÉBUP, - I