Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/420

Cette page n’a pas encore été corrigée

u• uinoxnn rent pas plutôt aperçu que, se levant précipi= n tamment, ils vinrent à moi... Raoul. (me prenant les mains). « Vous ne savez pas le plaisir ·que vous nous faites, tenez, on était en train de nous graisser nos bottes. Mor. » Que jene vous dérange pas. " · Covirr. » Vous, monsieur Jules, nous déranger ! plaisantez-vous ? r à Rsoun. » Il faudrait que nous n’eussions pas dix minutes devant nous, pour ne pas vous parler ; (se tournant vers les ecclésiastiques) ces messieurs nous excuseront. LE courrzssnuninn RAOUL. » Faites, mes en·=· fants, faites.-Couwr. » C’est qu’il n’y en a pas beaucoup sa comme monsieur Jules ; tel que vous le voyez, c’est pourtant lui qui nous a emballés, mais ça n’y fait rien. ’ ’ RAOUL. » Si oe. n’avait pas été lui, c’était uu autre. · V Courur. » Et qui ne nous aurait pas si bien traités. RAOUL. » Àh ! monsieur Jules ; je n’oublierai ’ » jamais ce que vous avez fait pour nous. COURT. » Un ami n’en ferait pas autant.