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qu’une ; il fallut se résigner. Le soir, madame se ’ fit apporter un grand paravent, dont elle se servit pour séparer lapièce en deux’, de manière que nous devions être chacun à notre particulier. Avant dialler nous coucher, elle me sermonna pendant une heure. Enfin nous moutons È ’ma·~ I dame passe chez elle, je lui souhaite le bon soir, — et en deux’minutes je suis au ·lit. Bientôt elle laisse échapper quelques soupirs, —c’est sans doute fieffist de la fatigue qu’elle a éprouvée pendant la journée ; elle soupire encore, mais la chandelle est éteinte, et je nfendors. Tout à coup je suis interrompu dans mon premier somme’, il me semble que l’on a prononcé mon nom ; j’écoute... Eugène, c’est la voix de ma·Ã dame Duflos ; je ne réponds pas ; « Eugène, ’ » appelle-t-elle de nouveau, avez - vous bien ’ fermé la porte ? ’,

— » Oui, Madame. ’

— » J e pense que vous vous trompez ; voyez-y, je vous prie, et surtout assurez vous si le verrou est bien poussé ; on ne sau·= rait prendre trop de précautions dans’les ’ auberges. n

Je procède à la vérification, et reviens me coucher. A peine me suis-je replace sur le côté