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Tallais. répondre, ’mais un commis qui’s’était chargé de ma présentation, lui avant dit que j’étais le jeune homme dont il lui avait parlé, elle me fixe de nouveau et’me— demande si je’m’entends au commerce. En fait de commerce, j’étais assez novice, je garde’le silence ; elle q réitere la question, et comme elle manifeste de l’impatience, je me voisibrcé ide m’expliquer. u Madame, lui dis-je, je ne connais pas le rl commerce de nouveautés, mais avec du zèle et de la persévérance ; fespere parvenir à vous satisfaire, surtout si vous avez la bonté de n m’aider de vos conseils. ’ ’ ’ ’ ’ — » Eh bien l vous me faites plaisir, ’j’aime ’ que 1’on soit franc ; je vous accepte, vous ’ remplacerez Théodore. ’ ’

— n Dès qu’il vous conviendra, madame, n je suis à vos ordres..

- » En-ce cas, je vous arrête, ’et à dater d’aujourd’hui, je vous prends à l’essai. » Mon installation eut lieu sur-le-champ. En ma qualité de dernier commis, c’était à moi qu’était dévolue la tâche d’approprier le magasin et l’atelier, où une vingtaine de jeunes filles, toutes plus jolies les unes que les autres, étaient occupées ’ À l’àçO1111€I’ (183 (lBSÈil1éS à ILBDCBP la