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on ouvre, et je me glisse doucement dans la ’maison, afin d’y’pousser une reconnaissance ;· je veux m’assurer s’il est temps d’agir. Mais, ’ près de mettre le pied sur la première marche de l’escalier, je m’arrête, quelqu’un descend....’ C’est une femme, dont les traits altérés et la démarche pénible révèlent un état de souffrance : À mon aspect, elle jette un cri, et remonte ; je la suis, et en m’introduisant avec elle dans le ’ logement dont elle à la clef ; je ml entends an noncer par ces mots prononcés avec effroi : « Voilà Vidocq ! >> Le lit est dans la seconde pièce, j’y cours ; un homme est encore.couché, il lève la tête, ciest Sablin ; je me précipite- sur lui, et avant qu’il ait pu se reconnaître, jelui passe les menottes.

Pendant cette opération, ’madame, tombée sur une chaise, poussait des gémissements, elle se tordait et paraissait en prôie à une douleur horrible. « En qu’a donc votre femme, dis-je À n Sabliu É) I ’ ’

— Ne voyez-vous pas q-u’elle est dans les mais ? Toute la nuit, été le même train ; n quand vous l’avez rencontrée, elle sortait u pour aller chez madame Tù·e-·mondc. » ’ ’ · En ce moment, les gémissementslredoublenta