Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/261

Cette page n’a pas encore été corrigée

’ ’un v : n0¤Q· ’ 2É — » Vous donneriez le double, que si le voleur a pris toutes ses précautions, nous ne saurions rien. i ’-5- » Ah ! monsieur, yous me désespérez, reprit le bijoutier, en pleurant à chaudes larmes et se jetant aux genoux du—chef de division. Cent mille écus de diamants ! s’il faut que je les perde, j’en mourrai de chagrin ; je vous en conjure, ayez pitié de moi., [ —·— » Ayez pitié, cela vous est bien aisé àdire ; ’ cependant, si votre homme ifest pas trop netors, en le faisant surveiller et circonvenir. n — par quelque agentadxtoit, peut-être viendrons nous à bout de lui arracher son secret.— » Combien je vous aurais de reconnais- ’ sance ! oh ! je ne tiens pas à l’argent ; cinquante mille francs seront la récompense du Succès. e ’ — » Eh bien ! Vidocq, qu’en pensez-vous ? - » l’affaire est. épineuse, répondis-je à M. Henry, mais si je m’en chargeais., je ne serais pas surpris d’en venir à mon honneur. — » Ah ! me dit M. ’Sénard en me pressant A affectueusement la main, vous me rendez la’ vie ; n’épargnez rien, je vous en prie, mon- r sieur Vidocq ; faites toutes les dépenses néces-Tom : m. · 17