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nos nànoxnns

’ · ° » fin, où vous avez failli être arrêtés par le ’ » gardien, tu n’aurais pas maintenant ma visite. C’est-il clair ? Sur quatre que vous étiez, il y en a un qui a tortillé (avoué) ; devine qui ; si tu le nommes je te dirai c’est lui. » c Caffin réfléchissant un instant, puis relevant brusquement sa tête, comme un cheval qui ca=· puchonne, a tiens, Jules, me dit-il, je voisbien qu’il y a parmi nous une canaille qui a mangé ; ’ao fais-moi conduire devant le quart d’œil (commissaire) je mangemi aussi. Faut-t’i être

gueux, pour vendre des camarades argent

» comptant, surtout quand on est grz}zcheP Toi,

c’est autre chose, tu t’es rendu rousse (mou’ » chaud) par- force ; je suis bien sur que si tu trouvais un bon coup à faire, tu brûlerais la politesse à la cuisine (police,

— » Comme tu dis, mon ami, si j’avais su ce que je sais, je te réponds que je ne serais pas là, mais quand je m’en bouleverserais les ’ » sens, c’est fait, il n’y a plus à y revenir.-4- » Où vas-tu me mener de ce pas ?

— » Au poste de la place du Châtelet, ’et si - » t’es décidé à avouer la vérité, je vais faire prévenir le commissaire ;

— » Oui, fais-le venir, je’veux enfoncer ce