Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/200

Cette page n’a pas encore été corrigée

ne ninomùs -- » Il n’y a que Caffin. ’ ’ ·— » Tel’avais-je pas dit ? · -· » Ous qu’il est, le monstre ? mais, ’ous M qllill Bât ? — » Si tu veux, lui dis-je, je te mènerai où il est. I, · s · °’ - >> Ab ! mène-moi-zy... fais ça pour moi, Jules ! I — n C’est qu’il y a loin d’icià l’Hôtel d’Angleterre. ’l. — n Tu penses qu’il y est ? ’ -· • » d’en répondrais- ; il y sera allé passer une heure ou deux, pour attendre que Éélicité ait fini sa soirée, et de ·là il aura été la retrou= ver rue Froid-Manteau. » · a ’ ’Émilie ne doutait pas que je n’eusse parfaite= ment deviné, aussi ne tenait-elle plus en place ; elle crevait dans sa peau, et ne me laissa ni paix ni trêve que je n’eusse consenti à entre= prendre avec elle le voyage de l’H6tel d ’Ãng[e= terre. Le trajet me parut long’, ·car j’étàis le cavalier d’une dame dont le centre de gravité, ’ — vacillant à l’excl-es, me donnait fort à faire pour ’garder moi-même mon équilibre ; cependant, moitié traînantîla belle, moitié la portant, e parvins avec elle dans la rue Saint-l-lonoré, à la porte