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ir me dit quelque chose (montrant de la main sa poitrine}, c’est là..... ; c’est mort. T- » Hébienl jesuisalléce soir aux Champs- ’ F Élysées ; j’ai vu ton homme avec Félicité, . ils ont d’aborcl disputé : elle disait qu’il t’an vait mis dans sa chambre de la rue Saùzt- I ».Pl~8I’I’0·dU~iC—.Bû ?ü’f.l’..... Il lui a juré que non, et qu’il n’avait plus de fréquentations avec toi. Tu sens bien que, vis-à-vis d’elle, je n’ai pas pu faire autrement que de dire comme lui. Ils se sont mmybtés (réconciliés) ; et, d’après des mots de leur conversation, je répondrais bien que la nuit de hier à aujourd’hui, il a couché I avec Félicité, place du Palais-Royal. · — » Oh ! pour ça, c’est pas vrai, car il a été avec des amis.

- » Avec Cqjjïrz, Bicêtre et Linois ; Hotot n m’a conté ça. ·

-· n Comment donc, il t’a dit ça ? il m’avait pourtant bien défendu de tien parler ; voilà comme il est, et puis après, s’il lui arrivait de ’ la peine, il me ....... du tabac (battrait). — » N’as-tu pas peur ? Vas, c’est pas inoi qui ’ » ferais jamais un trait à un ami ; si je suis rousse (mouchartl), il me reste cncore des sentiments ! ’.