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" ’un vubocç. ua · Un peu, mon neveu ! avec eux 11cfauÀ drait-·il pas vivre comme des bêtes ? » La Bariole, qui n’aimait pas à être contrariée au sujet de sa croyance, se mit à appeler Émilie. Dépêche-toi, · lui cria-·t-elle : attends, mon ’garçon, je vais voir si elle a fini. — » Vous ferez bien ; car je suis pressé. »’ Emilie parut bientôt avec un caporal des pompiers, qui, sans regarder derrière lui, ’prit immédiatement congé d’elle. — « Puisqu’il ne songe pas à son cassis, ob= >> serva la Bariole, 11’n’y, a qu’à le remettre n dans la bouteille. — » Je le boirai, dit Émilie. ’ — » Pas de ça, Lisette’. — » Vous plaisantez.... il est payé. (buvant) Tiens, il y a des mouches. [ — » ça te rendra le’cœur gai, m’écriai-je. — » Ah bien ! je ne croyais pas si bien dire. C’est toi, Jules ! et qu’est-·ce que tu fais donc dans le quartier ?, · — » ·l’ai su que tu étais ici, et je me suis dit : faut que je voie la femme à Hotot, jelui ’ » paierai chopine en passant. Agathe, comman-« ’ » da la Bariole, servez une chopine, » et Agathe ’ aussitôt faisant, suivant l’usage, mine de des=