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ue uàxomnn ’ — » Non, je n’ai que mes quarante-cinq ’ ° i » sous et pas un f..... avec, ~ · ’ ’ - » Donne toujours, je vais tâcher d’arn’ranger ça avec les parents de la fille. » J’ofFre au cabaretier deux francs cinquante centimes, en promettantlde lui apporter le surplus le lendemain ; mais il n’entend paslde cette oreille là. « Ah ! vous croyez, dit-il, qu’il n’y a qu’à · venir s’empiffrer ici -et me payer ensuite en monnaie de singe, — » Mais, lui lis-·je observer, c’est un accident qui peut arriver au plus honnête homme. — » Contes que tout cela ! Quand on est désargenté on se le brosse, ou l’on prend un litre, et l’on ne va pas se taper un son per à " » l’œil (à crédit ’ ’ Ne vous fâchez pas, mon brave ; si cela accommodait les épinards, à la bonne heure. — » Allons ! pas tant de raisons, payez-moi, ou je vais envoyer chercher la garde. - » La garde ! tiens, voilà pour elle et pour toi, lui dis-je, en accompagnant ces paroles d’un geste de mépris Fort usité parmi les gens. du peuples ’ ’ * — » Ah, gredin ! ce n’est pas assez d’emporter ma marchandise, s’écrie-t-il on me