Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/147

Cette page n’a pas encore été corrigée

U L un irxnooç ; ass

Il n’eut pas plutôt vidéson verre, qu’il de= n vint de plus en plus pensif, « non, non, repritil, on ne me l’ôtera pas de’liidée.

— » Ah ça, voyons, explique-toi.

T— » Et quand je m’expliquerais.

I -· » Tu as raison ; vas, tu ferais bien mieux is (de retirer les bas que tu as à tes pieds, et la cravatte qui est à ton cou. » ·

W Lapierre étaità peu près dans la même tenue que le célèbre auteur du pied de mouton, lors= que, pour descendre dans le jardin du Palais-Royal, il n’avait d’autre chaussure que les bas à jours et les souliers de satin blanc de sa maî tresse. Comme il me semblait apercevoir dans ’les yeux de l’ami ce po’int noir de la méfiance, qui, si l’on n’y prend garde, grandit avec tant de rapidité, j’étais bien aise de lui donner une de ces marques d’lIllié1’êll, dont l’efI’et est de ras= · surer u n’es prit ombrageux : tel était mon but, en lui conseillant de retrancher de sa toilette quelques objets de peu de valeur, que, pendant la revue du butin, ses associés et lui avaient immédiatement appliqués à leur usage. « Que veux-tu que j’en fasse, me dit Lapierre ? ’ — » On les jette à lieau, .