Page:Vidocq - Les Voleurs - Tome 1.djvu/32

Cette page n’a pas encore été corrigée
xxxij
PRÉFACE.

Ses tirans et sa montante,
Et son combre galuché,
Son frusque, aussi sa lisette[ⅹⅹⅻ-1 1],
Lonfa malura dondaine,
Et puis j’ai défouraillé[ⅹⅹⅻ-1 2],
Lonfa malura dondé.

  1. Ses habits, sa veste.
  2. Et puis je me suis sauvé.


Son frusque, aussi sa lisette,
Et puis j’ai défouraillé ;
Farre, farre, la marcandière[ⅹⅹⅻ-2 1].
Lonfa malura dondaine,
Car nous serions béquillés[ⅹⅹⅻ-2 2],
Lonfa malura dondé.

  1. Sauvons-nous, la marcandière.
  2. Car nous serions pendus.


Farre, farre, la marcandière,
Car nous serions béquillés,
Sur la placarde au quart-d’œil[ⅹⅹⅻ-3 1],
Lonfa malura dondaine,
Rigaudons faut gambiller[ⅹⅹⅻ-3 2],
Lonfa malura dondé.

  1. Sur la place publique.
  2. Où il nous faudrait danser.