bille ; s’il va à Niort, il faut lui riffauder les paturons.»
La lettre suivante peut servir de réponse à cette note.
« Nous voulons bien maquiller le suage de ton rochet[xⅵ 1], l’ouvrage nous paraît bon ; mais nous ne pouvons le maquiller qu’à la condition de tout connir : il n’y a que les refroidis qui ne rapliquent nibergue, en goupinant de cette sorte les parains seront estourbis ; il sera donc impossible de jamais être marons. Si tu consens à nous laisser rebâtir le ratichon et sa larbine, nous irons pioncer dans le sabri du rupin de ton villois, à cinquante paturons de la chique de la daronne du mec des mecs ; nous ne voulons enquiller chez aucun tapissier, c’est se mettre sur les fonds du baptême : voilà notre dernier mot. Nous attendons ta salade.»
- ↑ Nous voulons bien faire le chauffage de ton prêtre, l’affaire nous paraît bonne ; mais nous ne pouvons l’entre-