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II


Notre catholique libéral s’animait beaucoup en déroulant ces merveilles. Il soutenait qu’on n’avait rien à lui répondre, que la raison et la foi et l’esprit du temps parlaient par sa bouche. Pour l’esprit du temps, personne n’y contestait. En matière de raison et de foi, on ne laissait pas de lui pousser des objections, mais il haussait les épaules et ne restait jamais sans répartie. Il est vrai que les assertions énormes et les contradictions énormes ne lui coûtaient rien. Il partait toujours du même pied, criant qu’il était catho-