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au Temple, à la date du 8 juin 1795. Je vais répondre par le chapitre suivant à diverses objections, qui, on le verra, ne reposent sur rien de sérieux. Mais il me semble qu’en présence du faisceau de preuves écrasantes que j’ai recueillies et rassemblées dans le présent chapitre, et dans celui qui a précédé, je peux déjà interroger avec toute confiance le lecteur, et lui demander sans craindre une réponse défavorable : n’avais-je pas mille fois raison d’écrire il y a quelques instants : « Si jamais décès fut prouvé d’une façon évidente, irréfutable et péremptoire, c’est à coup sûr celui-là » ?