Page:Vers et Prose, tome 3, septembre-octobre-novembre, 1905.djvu/113

Cette page a été validée par deux contributeurs.


Et sur une tombe entr’ouverte, au cimetière
Amarus gît, mort sur le cercueil de sa mère…
Le visage tourné vers les lilas en fleurs.
Il dort sa mort, tout seul. Et l’oiseau chante encore.


Extrait des Nouveaux Poèmes Épiques.


JAROSLAV VERCHLISKY
Traduit du tchèque
par otakar theer et henri verne