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de trois russes et de trois anglais

Mokoum et sur John se glissèrent sous les broussailles (p. 131).

les inquiétudes dont le perspicace chasseur avait fait part au colonel Everest.

C’était le 15 octobre. Depuis deux jours, sir John se livrait tout entier à ses impérieux instincts. Un troupeau d’une vingtaine de ruminants avait été signalé à deux milles environ sur le flanc droit de la caravane. Mokoum reconnut qu’ils appartenaient à cette belle espèce d’antilopes, connue sous le nom d’oryx, et dont la capture, fort difficile, met en relief tout chasseur africain.

Aussitôt, le bushman fit connaître à sir John l’heureuse occasion qui se présentait et il l’engagea fortement à en profiter. Il lui apprit en même temps que ces oryx étaient très difficiles à forcer, que leur vitesse dépassait