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les forceurs de blocus.
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/0/01/Jules_F%C3%A9rat_-_Les_forceurs_de_blocus_02.jpg/500px-Jules_F%C3%A9rat_-_Les_forceurs_de_blocus_02.jpg)
— C’est moi, répondit le skipper (p.124).
— Si, la peau de l’équipage et du capitaine ; mais cela ne compte pas.
— Voyons voir, dit l’oncle Vincent, qui affectionnait ce pléonasme.
— C’est tout vu, reprit James Playfair. Vous avez lu la Tribune, le New York Herald, le Times, l’Enquirer de Richmond, l’American−Review ?
— Vingt fois, neveu James.
— Vous croyez, comme moi, que la guerre des États−Unis durera longtemps encore ?
— Très longtemps.
— Vous savez combien cette lutte met en souffrance les intérêts de l’Angleterre et particulièrement ceux de Glasgow ?
— Et plus spécialement encore ceux de la maison Playfair et Co, répondit l’oncle Vincent.
— Surtout ceux−là, répliqua le jeune capitaine.