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UN CAPITAINE DE QUINZE ANS


Dick et ses compagnons s’y glissèrent. (Page 224.)

Au bas de ce cône, fait d’une sorte d’argile rougeâtre, se creusait un trou fort étroit, qu’Hercule élargit avec son coutelas en quelques instants, de manière à livrer passage même à un homme tel que lui.

À l’extrême surprise du cousin Bénédict, pas un seul des milliers de termites qui auraient dû occuper la fourmilière ne se montra. Le cône était-il donc abandonné ?

Le trou agrandi, Dick et ses compagnons s’y glissèrent, et Hercule disparut le dernier, au moment où la pluie tombait avec une telle rage, qu’elle semblait éteindre les éclairs.

Mais il n’y avait plus rien à craindre de ces rafales. Un heureux hasard avait