Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
Ou quand tu rôdes sur les lisses
Du navire battu de flanc
Sous les coups de typhon hurlant
Et que dans les agrès tu glisses
Ainsi qu'un lumineux goéland !
Et l'union serait complète
Si le destin, un jour, voulait
Que je pusse, comme il me plaît,
Naître avec toi, flamme follette,
Mourir avec toi, feu follet !