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sept mois à cork.

Leur plus vif désir eût été de s’élancer sur le pont. (Page 323.)

Qu’on ne s’étonne pas si P’tit-Bonhomme, grâce à un instinct particulier, avait tenu sa comptabilité quotidienne d’une façon très régulière : tant pour le galetas à l’auberge, tant pour les repas, tant pour le blanchissage, le feu et la lumière. Chaque matin, il inscrivait sur son carnet la somme destinée à l’achat de marchandises, et le soir, il établissait la balance entre les dépenses et les recettes. Il savait acheter, il savait vendre, et c’était tout profit. Si bien