bert|c}}
Parfaitement ! monsieur de La Salle.
C’est bien cela !
Si je le connais ! C’est lui qui nous a mariés.
Hein ?
Eh bien, qu’est-ce qu’il y a ?
Une malice rentrée.
C’est le consul de France qui vous a mariés ?
Oui. Qu’est-ce que cela te fait ?
À moi ? Oh ! rien ! moins que rien !
Qu’a-t-il donc ?
Il ne peut entendre parler de mariage sans avaler de travers.
Et maintenant, voulez-vous permettre un peu de repos à une voyageuse qui n’a pas fermé l’œil de la nuit ?
Mais il n’est pas tard ! Onze heures !
Onze heures !… et l’honneur qui m’appelle sous les drapeaux ! Allons revêtir mon uniforme, et veiller au salut de l’empire.
Me permettez-vous, madame, de vous offrir mon bras jusqu’à votre voiture ?
Du moment où ce n’est que le bras, j’accepte. (À Laurence.) Au revoir ! (Elle l’embrasse.)
Au revoir ! À demain, n’est ce pas ?
À demain… Eh ! mais, Roquefeuille est devenu muet. Méfiez-vous ! il y a quelque anguille sous roche.
Moi, je…
Nous ne vous demandons pas vos secrets. Adieu ! {{didascalie|(Elle lui tend la main. Roquefeuille, d’un air distrait, lui donne sa tasse et s’a