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« Des torches ! » se dit-il. (Page 162)

chée lointaine sur la terre sèche. Pas de doute. Il se produisait, à une ou deux verstes en arrière, un certain cadencement de pas qui frappaient régulièrement le sol.

Michel Strogoff écouta avec plus d’attention, après avoir posé son oreille à l’axe même du chemin.

« C’est un détachement de cavaliers qui vient par la route d’Omsk, se dit-il. Il marche rapidement, car le bruit augmente. Sont-ce des Russes ou des Tartares ? »

Michel Strogoff écouta encore.

« Oui, dit-il, ces cavaliers viennent au grand trot ! Avant dix minutes, ils