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à bord de l’épouvante

Ce fut bien en face qu’il fixa sur moi son regard. (Page 152.)

Puis, sans prononcer une parole, il déposa quelques provisions devant moi et regagna sa place.

De la viande conservée, du poisson sec, du biscuit de mer, un pot d’une ale si forte que je dus la mélanger d’eau, tel fut le déjeuner auquel je fis honneur. Quant à l’équipage, il avait sans doute mangé avant que j’eusse quitté ma cabine, et il ne me tint point compagnie.