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LES NAVIGATEURS FRANÇAIS.


Bonaparte lui fit un excellent accueil. (Page 358.)


autres, après avoir jeté leurs sagaies au loin, probablement pour nous convaincre de leurs intentions pacifiques, vinrent nous aider à débarquer. Les matelots, à mon exemple, leur offrirent divers présents, qu’ils reçurent avec un air de satisfaction, mais sans empressement. Soit apathie, soit confiance, après avoir reçu ces objets, ils nous les rendaient avec une sorte de plaisir, et lorsque nous leur remettions de nouveau ces mêmes objets, ils les abandonnaient sur la terre ou sur les roches voisines.

« Plusieurs chiens très beaux et très grands se trouvaient avec eux ; je fis mon possible pour les engager à m’en céder un ; je leur offris, à cet effet, tout ce qui était en mon pouvoir, mais leur volonté fut inébranlable. Il paraît qu’ils s’en