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Tullia pleurait… (Page 76.)
passé et semblaient, pour mieux broyer son cœur, redevenir présentes, toutes à la fois. Sous leur poids accumulé, Tullia fléchissait. Elle s’abandonnait. La force lui manquait enfin pour défendre et protéger le bourreau.
— Vous avez bien fait de parler, mon enfant, dit le Kaw-djer d’une voix émue, quand Graziella eut achevé son récit. Soyez certaine que nous ne vous abandonnerons pas et que nous vien-