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son œuvre humanitaire. Ses visites aux familles indigènes ne furent pas supprimées, et il continua de courir partout où il y avait un service à rendre ou une douleur à guérir.

Plusieurs années se passèrent ainsi, et tout portait à croire que le Kaw-djer continuerait à jamais sa vie libre sur cette terre libre, lorsqu’un événement imprévu vint en troubler profondément le cours.