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Les deux maçons improvisés… (page 278.)

avant, rien n’avertissait du péril les navires en détresse. L’agonie du Jonathan n’avait été, en effet, qu’une des innombrables scènes du drame qui se joue perpétuellement dans ces parages. Des centaines de bâtiments doublent, au milieu des tourmentes, l’extrême pointe de l’Amérique. Moins heureux que le Jonathan, ils n’ont pas de feu pour les guider, et trop souvent ils couvrent de leurs débris les récifs de l’archipel. Il en serait autrement si