Page:Verne - Les Naufragés du Jonathan, Hetzel, 1909.djvu/311

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

neau, puis Dorick enflamma une allumette qu’il approcha de l’autre extrémité. Hâtivement, les deux hommes sortirent alors, Kennedy le premier en emportant le second baril, puis Dorick qui tira de son mieux la porte derrière lui.

Les frères Moore et Sirdey étaient fidèlement à leurs postes.

Dorick, appelant leur attention par un léger sifflement, leur apprit d’un geste le succès de la tentative.

Aussitôt, tous s’éloignèrent rapidement, tandis que, sur la place déserte, l’orage continuait à verser son déluge.