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les indes-noires.

« Ce sont des cairns, » dit James Starr. (Page 144.)


— Ma foi, Jack, tu as raison, répondit en riant James Starr, et cela prouve tout simplement que, ce jour-là, notre bailli n’était pas vêtu à la mode de ses ancêtres !

— Il eut tort, monsieur Starr !

— Je n’en disconviens pas, Jack ! »

L’attelage, après avoir gravi les abruptes rives du torrent, redescendit dans une vallée sans arbres, sans eaux, uniquement couverte d’une maigre bruyère. En certains endroits, quelques tas de pierres s’élevaient en pyramides.

« Ce sont des cairns, dit James Starr. Chaque passant, autrefois, devait y apporter une pierre, pour honorer le héros couché sous ces tombes. De là est